Habitant sous un étage, notamment dans le cas d’un appartement, l’isolation acoustique résout le confort sonore de la maison. En effet, avoir des voisins au-dessus du plafond reste inévitable alors qu’ils sont particulièrement bruyants. Si vous projetez ainsi d’entreprendre des travaux d’isolation acoustique du plafond, vous n’êtes pas à tort. En outre aux soucis des voisins, une isolation contribue également à limiter les bruits des pluies. Pour une efficacité optimale, entreprendre une isolation n’est toutefois pas à laisser au soin des amateurs. Cependant au préalable, le propriétaire est tenu de connaître la consistance des travaux.
La résolution qu’apporte une isolation phonique du plafond
Une règlementation mentionne une atténuation des bruits aigus qui se répercutent sur le confort sonore d’une maison. Consultez ainsi les informations sur l’isolation phonique du plafond, pour connaître davantage sur les vrais principes de l’isolation phonique. Elle stipule que la fourchette tolérable pour le niveau sonore est comprise entre 60 à 65 dB. Soit, toutes les maisons dont la valeur dépasse ce minimum doivent entreprendre des travaux d’isolation phonique, notamment sur leur plafond. On peut citer l’exemple des maisons en rez-de-chaussée, celles exposées fortement aux bruits des voies publiques comme les trains, les voies ferrées ou les autoroutes. Bien qu’elle ne soit pas obligatoire, au contraire de l’isolation thermique, elle doit figurer dans la liste des priorités pour un environnement bruyant.
Les techniques d’isolation à adopter
L’installation d’un plafond suspendu reste la plus efficace. Elle consiste à accrocher au plafond, une ossature à suspente ou une autre, de longue portée des deux côtés du mur. On peut aussi recourir à la pose des plaques de matériaux isolants, un remplissage des creux du plafond ou la mise en place d’une chape anti-bruit. Ces techniques invitent divers matériaux isolants, en outre à l’installation d’un plafond suspendu. On distingue, les laines minérales, qui est un rouleau souple adapté aux plafonds suspendus. Le polystyrène expansé de son côté s’adapte aux souhaits d’une faible épaisseur si le polyuréthane est l’alternative la moins couteuse. Le matériau universel, qui résolve à la fois les soucis acoustiques et phoniques sont l’ouate cellulose.
Les spécifications d’une isolation phonique du plafond
Comme le plafond doit être aussi fin et léger, il faut penser à affiner les matériaux d’isolation. La laine de verre se pose ainsi en tant que solution idéale. Sinon, pour un rendu esthétique appréciable, il faut penser à recouvrir un faux plafond à la fin des travaux. Du côté de la pose, un diagnostic est requis notamment, l’étanchéité, l’humidité, la présence des putréfactions ou des insectes. Le matériau choisi doit ainsi recouvrir d’autres dimensions que celle du confort acoustique. On parle ainsi de la résistance au feu, à l’humidité, l’isolation thermique (afin de ne pas bourrer le plafond d’un double isolant), et l’esthétique. Finalement, compte tenu des enjeux de hauteur dans le cadre d’une mise en place d’isolant, ou des éventuelles expositions aux matériaux, les tâches sont à laisser aux mains d’un artisan expert ou même d’une entreprise d’isolation.
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